Agenda

Du 20 au 26 mars 2024, c’est la Fête du Court Métrage

La Culture ça Urge et Ca arrive près de chez vous (association organisatrice du festival Le cri du court)
relaient cet événement à La Ciotat

 

Cette initiative de L’Agence du court métrage est pensée pour valoriser le meilleur du court, s’adresser à tous les âges et publics et mettre en avant les grand(e)s réalisateurs(rices) de demain.

 

 

Pendant une semaine, cinéphiles ou néophytes, jeunes publics, familles et passionnés, explorent la magie du court, partout en France et à l’international, à l’occasion de cette grande fête gratuite et ouverte à tous.

https://www.lafeteducourt.com/

Voir la Bande Annonce :

 

La programmation à La Ciotat :

 

Mercredi 20 mars, à partir de 14h au Cercle de la Renaissance, séance organisée par le Secours Populaire Français (séance réservée aux  enfants des bénéficiaires et des bénévoles du SPF).

 

Mercredi 20 mars,à 19h, au Cercle de la Renaissance, avenue Galliéni (face à la Poste), entrée libre :

La lutte, c’est du sport : sur le ring, sur le terrain ou à l’usine, tous les combats sont bons à mener.

BONIEK ET PLATINI de Jérémie Laurent :

Été 1982, deux cousins, Zbyszek et Michel, jouent au ballon dans les rues du quartier de Praga à Varsovie. La Pologne est en état de siège depuis 6 mois et la Coupe du monde de football en
Espagne touche à sa fin.

LE CERCLE D’ALI, d’Antoine Beauvois-Boetti :

Dans un centre d’accueil, Salman, un jeune Afghan de 22 ans, se prépare pour son audition au CNDA, l’obligeant à se confronter au souvenir de son premier et unique match de bouzkachi, le sport national d’Afghanistan.

LA LUTTE EST UNE FIN, d’Arthur Thomas-Pavlowsky :

26 juin à Marseille 2022. Au sein de la bourse du travail transformée en arène de boxe, les boxeurs du collectif Boxe Massilia sont sur le point d’entrer sur le ring face à une foule en liesse. Et si à travers ce spectacle antique du combat au corps à corps, une autre lutte se jouait, plus décisive et fondamentale ?

LES CHIENS VERTS, de Mathias et Colas Rifkiss :

Oswaldo et Babass, deux ouvriers quinquagénaires amateurs de football, menacés par la délocalisation de leur usine en Roumanie, provoquent en match les jeunes cadres de leur direction. Pour cela, ils reforment leur mythique équipe amateur des années 80, Les Chiens Verts. Mais les jeunes champions d’antan ne sont plus ce qu’ils étaient. Et la partie semble mal engagée quand Oswaldo choisit pourtant de parier leur avenir professionnel sur le résultat du match.

 

Samedi 23 mars,à 19h, à La Boutique, rue des Frères Blanchard, entrée libre :

LA JEUNE CRÉATION AFRICAINE : Au travers de ces six films découvrez la production de l’Afrique francophone d’aujourd’hui.

CHITANA, d’Amel Guellaty :

Eya et Sofia, deux soeurs âgées de dix et douze ans, vont puiser de l’eau au puits du village et se laissent tenter par une promenade dans les bois, un endroit où il est interdit aux petites filles d’entrer. Découvrir la forêt voisine est une grande émotion et elles font des rencontres merveilleuses. Mais la liberté peut avoir un prix…

MACHINI, de Frank Mukunday :

Par la force des choses et surtout des machines, nous sommes devenus des êtres somnambules, des damnés de la terre, des cobayes de l’histoire et de la machine.

GARIBOU, de Seydou Cissé :

Un petit village du centre du Mali, de nos jours. Baillo, 11 ans, est un « garibou », placé en école coranique depuis sa plus tendre enfance. Pour échapper à la violence de son quotidien, Baillo n’a qu’un seul refuge : son imaginaire…

TIMIS, d’Awa Moctar-Guèye :

Au crépuscule, le monde des esprits devient plus audacieux. L’obscurité du marché de Dakar, où réside la figure solitaire et élancée de Pa Kong-Kong, est considérée comme un endroit où les enfants ne doivent pas s’aventurer…

L’ENVOYÉE DE DIEU, de Amina Mamani Abdoulaye :

Par ici, l’envoyée de Dieu est choisie par hasard et soumise à des rites funéraires. Fatima, douze ans, déposée dans un marché, portant une ceinture d’explosif activée dix minutes pour tuer les ennemis d’Allah. Pendant neuf minutes, c’est un voyage intérieur durant lequel, elle passe du présent au passé.

L’OMBRE DES PAPILLONS,  de Sofia El Khyari :

En proie à un sentiment de douce-amère nostalgie, une femme se réfugie dans la contemplation de papillons qui  semblent peupler une mystérieuse forêt.

 

 

Des enseignant-e-s des écoles maternelles Jean Zay et Centre Ville  organiseront également des projections pour leurs élèves (programmes dédiés pour les scolaires).